Dominique Ganiage a étudié avec Véronique Jestin, élève d'Étienne Martin, et puise son inspiration de Bourdelle à Ousmane Sow.
Son style se distingue par des traits marqués, jamais lisses, en écho à un monde qui ne l'est pas. Il se situe davantage dans le réalisme que dans l'abstraction, plus expressionniste que minimaliste, avec une orientation vers des œuvres organiques.
Initialement centrée sur le corps, sa pratique s'est progressivement élargie aux visages et portraits, puis aux paysages, aux roches, sans oublier un intérêt récurrent pour les félins.
On a pu dire de son travail qu'il est traversé par une double tension entre force et sensibilité, puissance et émotion. Il en résulte des pièces marquées par l’ombre et la lumière, une touche affirmée et parfois un caractère tellurique.
Elle travaille presque exclusivement la terre, brute, cuite à différentes températures ou colorée avec des pigments, de la cire, et autres matières.
Son approche, qui ne s'inscrit dans aucun courant précis, est davantage expressionniste que minimaliste, plus figurative qu'abstraite. Elle accorde une place essentielle à la touche, au jeu de l'ombre et de la lumière.
Elle a notamment exposé au Grand Marché de l'Art de 2013 à 2016, au Salon de Saint-Denis depuis 2022, à Art3F depuis 2022, ainsi que dans le cadre des Journées du Patrimoine.